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Les Alpes dans un écrin

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Trois jours de canicule annoncés pour ce long week-end de l’Ascension. Presque tous les cols alpins sont ouverts. C’est le moment de prendre un peu de fraicheur.

 

On quitte la vallée du Rhône. Direction Chamonix.

Les Aiguilles de Chamonix et le Mont-Blanc sont encore bien couverts. Nous ne sommes qu’à la mi-juin. Nous profiterons d’une terrasse chamoniarde pour prendre un café et se régaler de cette atmosphère estivale et un brin “flambeur”.

En route pour les Saisies. C’est la première fois que nous découvrons “des pistes de ski de fond” mécanisées 😉 Emerveillement…

Le panneau indicateur annonçait un super point de vue au sommet de la colline. Bertha est allée au sommet de ce qu’elle pouvait assurer…

Vue magnifique sur un nouveau versant du Mont-Blanc.

La montée au lac de Roselend se fait à un rythme un peu plus soutenu que d’ordinaire. Histoire de ne pas trop laisser encrasser le pot et de s’assurer que Charlotte ne se soit pas endormie… Nous nous arrêtons à la petite buvette proche du lac. C’est toujours un plaisir d’y faire une pause, l’accueil et sympa et le menu est d’un prix abordable, sans pour autant négliger la qualité.

Notre première étape ira jusqu’à Moûtiers. Terrasses, petite bière… bon repas et discussion avec les convives de la table voisine. Monsieur a des idées bien arrêtées sur la forte présence des étrangers sur le territoire français, il n’est pas raciste qu’il dit…, tandis que Madame s’efforce d’adoucir les propos de son cher et tendre…

Pour notre deuxième jour, nous prendrons la direction du col de la Madeleine,

puis le col du Télégraphe. Il a fallu tout de même se battre, car Germaine souhaitait absolument que nous allions par le col du Glandon. Têtue cette Germaine, tout de même.

Puis ce sera le col du Galibier où bon nombre de cyclistes tentent l’ascension. Trop facile et tellement beau sur le dos de Bertha…

Pour terminer la journée, nous passerons en Italie par le col du Montgenèvre et dormirons à Susa.

Déjà le dernier jour…. Germaine est en grande forme… 10 minutes à peine après avoir quitté l’hôtel, je suis trempé. Merci Germaine. C’est qu’elle a du caractère “la vilaine”, le col du Mont Cenis par la voie normale, c’était trop simple. Il a fallu qu’elle nous trouva une toute petite route… si petite qu’elle finissait dans un prè au grand damne d’une bonne dame qui criait: “No possibile, no possibile”.

Le col du Mont Cenis, crénellé tel un château fort.

Juste avant la montée au col de l’Iseran

Montée au col du Petit Saint-Bernard

Retour en Suisse par le Grand Saint-Bernard.

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