Et si l’on fermait les yeux pour imaginer de grandes étendues de champs d’oliviers, des eaux aux nuances de bleu indescriptibles, des villes de charme et de caractère dont seule l’Italie a le secret, et encore, des routes invraisemblables se dorant au soleil, des étendues émeraudes tapies de fleurs odorantes. Tout cela existe, je l’ai trouvé lors d’un périple tout au sud de l’Italie, dans la Calabre, Les Pouilles et la Côte Amalfitaine.
Qui veut partir loin, ménage sa monture. Fort de cette adage, nous prenons le ferry à Gênes pour nous rendre à Palerme. L’arrivée de nuit ne nous favorise pas pour trouver rapidement un hôtel. Une fois l’affaire bouclée, nous déambulons dans de petites ruelles à la recherche d’un resto. C’est fou le monde qu’il y a. Nous avons le sentiment que tout Palerme et sorti prendre le frais.