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les montagnes de Tatras

Quelque part vers l’est

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La crise du coronavirus a ébranlé le milieu touristique. Mes envies se sont retrouvées clouées au sol, à l’image de ces milliers d’avions qui n’ont plus pu lézarder le ciel en raison de la crise du coronavirus. Aujourd’hui, c’est tout le secteur du tourisme qui se réveille progressivement, certes encore un peu groggy, mais bien décidé à proposer aux touristes d’autres horizons que celui des murs de leur confinement.le lac de slano jezero au montenegro

La sensation extrême que procure le voyage peut paraître abstraite. Ce peut être perçu comme une futilité, loin des priorités existentielles. Et pourtant, je l’éprouve comme un besoin viscéral, une quête de liberté, un élément fondamental du “vivre”. Sortir de ma zone de confort, sortir de mon quotidien pour mieux découvrir qui je suis et requestionner celui que je pensais être. Le voyage, ce sont les rencontres, l’ouverture à d’autres réalités de vie que la mienne, à d’autres cultures, à d’autres façons de penser. Il me permet de mieux comprendre le monde, de bousculer mes idées reçues tout en me procurant un grand plaisir par les découvertes rencontrées. En voyageant, je cherche à « ressentir le monde », à m’imprégner du quotidien et des réalités d’autres peuples que le mien.