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Col du Mt Cenis

Yes week-end

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A n’en pas douter, l’automne reste une période propice pour rouler. La météo est souvent clémente et de longues périodes ensoleillées se succèdent pour la joie et le plaisir de ceux qui voyagent. Dom se joint à nous pour une succession de virages à un rythme soutenu.

On commence par la montée au Col du Grand St-Bernard. Charlotte n’en revient pas… elle s’accroche… donc pas de photos pour l’instant. A la hauteur de Morgex, Dom me fait découvrir une petite route bien particulière qui nous conduit directement sur la station touristique de La Thuile. On enchaine avec la montée du Col du Petit St-Bernard. Charlotte se détend gentiment mais, … toujours pas de photos. On continue vers le col de l’Iseran.

La route des grandes Alpes

La route des grandes alpes sera notre fil rouge, sans pour autant savoir si nous la suivrons ou non. Chaque matin, nous définissons ensemble notre objectif et nous verrons bien où finalement nous irons.

Pour l’instant, direction Briançon! Le col de la Forclaz et celui des Grands Montet sont vite avalés. En prévision du prochain tour de France, le revêtement routier est remis à neuf. C’est un plaisir de rouler dans ces conditions.

Parpaillon et Assiettta

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Les routes de Parpaillon et de l’Assietta, deux routes mythiques qui chantent à mes oreilles. J’ai beaucoup lu à leur propos. Les forums, divers revues spécialisées toutes parlent comme étant parmi les plus belles pistes que l’on puisse faire.
C’est décidé, j’y vais! Seulement, c’est loin le Parpaillon…, enfin tout dépend d’où l’on part. En suivant l'”autobeurk” c’est toujours aussi loin, mais pas intéressant du tout. Un rapide coup d’oeil sur la carte et me voilà parti pour faire un max de cols. Ce qui rendra le trip bien plus intéressant.

Vendredi fin d’après-midi, je sors du taf un peu à la bourre. J’ai prévu de rejoindre Briançon avant la nuit. J’enfourche « la belle » et gaz, direction la France par le col de la Forclaz et le col des Grands Montets. Après 30 km, je m’arrête pour faire le plein. Histoire de pouvoir rouler tranquille pendant un moment, si possible jusqu’à Briançon. C’est à ce moment que je me rends compte qu’il manque la plaque d’immatriculation. Retour « at home » et re-départ. C’est pas comme cela que je vais gagner du temps, mais le mal est fait.