Les Gorges du Dailley, ouvertes au public pour la première fois en 1895, abandonnées par la suite après la construction de la route de Van en 1944 semblaient oubliées à tout jamais. C’était sans compter sur la pugnacité de l’association des Amis des Granges et du Bioley qui entreprit sa reconstruction en 1991.
Juracirque s’aMUSE
L’idée est d’aller écouter le groupe rock mythique britannique “MUSE” à Bienne. Pour joindre l'”utile” à l’agréable, un concert couplé avec une jolie balade dans nos Franches-Montagnes, qui dit mieux? Au final, on aura eu que l’agréable, puisque Muse se produisait seulement le soir dès 21h00 et que nous devions faire encore plus de deux heures de route pour rejoindre notre hôtel, quelque part à Saint-Hypollite. Plus de 30000 fans qui avaient su lire l’horaire, ça fait tout de même du monde…
… Un dimanche en Valais
Un dimanche en Valais, ou plus particulièrement dans la partie germanophone du canton… heuuu… même pas sûr, la partie Walliserdeutsch du canton, car on y parle ici un dialecte particulier, propre à cette unique région. Même avec une poignée de cailloux dans la bouche, vous n’y arriverez pas, c’est dire si c’est incompréhensible pour les non-initiés.
Ici chacun à sa petite maison. Tout est bien propre et bien rangé… quelle discipline!
L’Eiger, le Mönch et la Jungfrau
l’influence du foehn les températures sont plutot douce pour ce début novembre. C’est comme une évidence… “le Moine et sa Vierge” nous appellent de loin.
Allegra – Buondi – Bonjour – Tag wohl
Après un été plus que pourri, l’automne nous réserve quelques belles journées. Le mois de septembre touche à sa fin. Les cols alpins vont bientôt se couvrir de neige, c’est le dernier moment d’y aller faire une petite visite. Nufenen, Lukmanier, Splügen, Maloja, Julier, Oberalp, Susten, Grimsel, voilà des noms qui sonnent bien à l’oreille… et c’est également l’occasion d’entendre le doux murmure de nos quatres langues nationnales – bon y en a une qui me fait mal aux z’oreilles, mais chui sensible de la feuille.
Une histoire d’eau
Le Tessin nous attire une nouvelle fois en cette fin de mois de mars. Les températures y sont printanières et l’air humide des lacs ajoute une atmosphère de détente estivale.
Visite majeure
Quelques journées aux allures printanières, un soleil bien ancré dans le bleu du ciel, voilà de quoi aiguiser notre envie d’enfourcher la GS. Mardi 18 mars en fin d’après-midi, nous décrochons du quotidien pour 24h, direction le Lac Majeur.
On transpire dans les 1ers km…. mais pas pour longtemps.
De Brigue, on prend rapidement de la hauteur, empruntant la route du col du Simplon.