Adieu Berthe, bonjour Epona
Suite à notre mésaventure sur la D 1090, je ne pouvais décemment en rester là. Après une brève, mais alors très brève période de doute, du genre : « vais-je continuer ou non les voyages en 2 roues »… s’en suis une phase d’euphorie : « je pense avoir trouvé mon bonheur ». Une réplique de la grosse Bertha, mais en mieux… enfin j’espère…
Bertha était aussi noire qu’Epona est blanche. Toutes les deux bavaroises d’origine et pourtant si différentes. Bertha était plus fine, plus menue dans son aspect général avec déjà un certain niveau d’esthétisme. Epona est plus ventrue et n’a pas peur d’afficher outrageusement son embonpoint. Son intelligence est omniprésente. Ce qui ne me rassure pas particulièrement, mais avais-je réellement le choix ? …