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Adieu Berthe, bonjour Epona

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Suite à notre mésaventure sur la D 1090, je ne pouvais décemment en rester là. Après une brève, mais alors très brève période de doute, du genre : « vais-je continuer ou non les voyages en 2 roues »… s’en suis une phase d’euphorie : « je pense avoir trouvé mon bonheur ». Une réplique de la grosse Bertha, mais en mieux… enfin j’espère…

Bertha était aussi noire qu’Epona est blanche. Toutes les deux bavaroises d’origine et pourtant si différentes. Bertha était plus fine, plus menue dans son aspect général avec déjà un certain niveau d’esthétisme. Epona est plus ventrue et n’a pas peur d’afficher outrageusement son embonpoint. Son intelligence est omniprésente. Ce qui ne me rassure pas particulièrement, mais avais-je réellement le choix ? …

Un jour de chance sur la D1090

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L’idée était toute simple, puisqu’il s’agissait de se retrouver sur un week-end en réalisant deux petites étapes, histoire de pouvoir apprécier à sa juste valeur les paysages se déclinant dans leurs teintes automnales. Dans les faits, il en fut tout autre…

 

 

 

 

Parpaillon et Assiettta

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Les routes de Parpaillon et de l’Assietta, deux routes mythiques qui chantent à mes oreilles. J’ai beaucoup lu à leur propos. Les forums, divers revues spécialisées toutes parlent comme étant parmi les plus belles pistes que l’on puisse faire.
C’est décidé, j’y vais! Seulement, c’est loin le Parpaillon…, enfin tout dépend d’où l’on part. En suivant l'”autobeurk” c’est toujours aussi loin, mais pas intéressant du tout. Un rapide coup d’oeil sur la carte et me voilà parti pour faire un max de cols. Ce qui rendra le trip bien plus intéressant.

Vendredi fin d’après-midi, je sors du taf un peu à la bourre. J’ai prévu de rejoindre Briançon avant la nuit. J’enfourche « la belle » et gaz, direction la France par le col de la Forclaz et le col des Grands Montets. Après 30 km, je m’arrête pour faire le plein. Histoire de pouvoir rouler tranquille pendant un moment, si possible jusqu’à Briançon. C’est à ce moment que je me rends compte qu’il manque la plaque d’immatriculation. Retour « at home » et re-départ. C’est pas comme cela que je vais gagner du temps, mais le mal est fait.

Les Balkans par la Slovénie, la Croatie, le Monténégro, la Roumanie et la Bosnie

Voyager, ce n’est pas seulement propulser son corps à des milliers de kilomètres de son lieu de vie habituel, c’est aussi, et surtout, déplacer cœur et esprit. Le voyage commence alors, en toute humilité, là où s’arrêtent nos certitudes, à l’heure de la remise en cause. Voyager ne va donc pas sans risques : la rencontre de l’autre ébranle mes convictions, me réapprend à douter, à questionner, pour gagner en compréhension et en harmonie. Partir… c’est inévitablement se rapprocher de son point de départ et accepter de revenir différent.

En passant par le Gothard… en rentrant par le col de la Croix

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Le Valais est un lieu propice à la découverte. Certains tracés restent plus “conventionnels”, d’autres sont plus secrets… Aujourd’hui, j’opte pour un tour des plus classique. Remonter tout le canton, passer le col du Nufenen, “La Tremola” du Gothard, le Sustenpass et retour par les Diablerets en longeant initialement les lacs de Thun et de Brienz

Un dahu au Dailley

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Les Gorges du Dailley, ouvertes au public pour la première fois en 1895, abandonnées par la suite après la construction de la route de Van en 1944 semblaient oubliées à tout jamais. C’était sans compter sur la pugnacité de l’association des Amis des Granges et du Bioley qui entreprit sa reconstruction en 1991.

Aujourd’hui, l’accès au Vallon de Van est assuré par un nouvel itinéraire qui longe audacieusement la grande cascade du Dailley. Une succession d’escaliers et de passerelles nous conduisent à l’entrée du Vallon. Frissons garantis tout en découvrant un paysage d’exeption.

Du Bois noir à la Forêt noire, noir c’est noir

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C’était une idée qui me trottait dans la tête depuis un certain temps que d’aller visiter cette Forêt Noire.

Quatre jours de congé, une météo incertaine, mais je ne pouvais me résoudre à ne pas y goûter. Mon SDS ne sera pas de la partie… En 30 minutes mes affaires sont prêtes et Bertha aussi. Direction Todmoos en Allemagne en passant par les Franches Montagnes, histoire de varier un peu les plaisirs – l’autobeurk n’en est pas un en soi.